amuse-girl

Samedi 29 août 2009 à 21:25

 


 

That's me in the corner
That's me in the spotlight
Losing my religion
Trying to keep up with you
And I don't know if I can do it
Oh no I've said too much
I haven't said enough
I thought that I heard you laughing
I thought that I heard you sing
I think I thought I saw you try

That was just a dream, just a dream.


 



Samedi 22 août 2009 à 22:11


- " T'es vraiment un enfoiré... Ca tombe bien, j'ai souvent eu un faible pour les enfoirés.

- Et moi pour les garces. On doit pouvoir s'arranger."

http://amuse-girl.cowblog.fr/images/P8180554.jpg

Lundi 20 juillet 2009 à 19:27



Alors j’en ai fait un tas, gratté une allumette, et tout a cramé.

Et j'ai grandi.

Voilà ce que j'aurais dû faire.

Vendredi 5 juin 2009 à 20:21


Et puis toi, t'es là, tu bouges pas, tu le regarde partir. Tu fixes son dos, et à mesure qu'il avance, tu doutes de plus en plus qu'il ne se retourne pour te faire un dernier sourire, ou au moins un signe de la main. Plus il s'éloigne, plus le doute s'installe plus tu supplies fort. Tu te sens con parce qu'il ne se retournera pas et que toi t'attendra jusqu'à ce qu'il ait disparu au premier virage et qu'il ne reste pas plus de quinze mètres. Alors tu comptes ses pas : un, deux, trois, quatre...tu fermes les yeux et continues en rythme... cinq, six ... les rouvres...sept, huit. Et c'est fini.
Tu restes là encore une vingtaine de secondes, et s'il avait oublié quelque chose ? Puis tu t'imagines le voir revenir sur ses pas pour te serrer fort, et finalement tu te dis que tu ferais mieux d'arrêter de penser n'importe quoi et t'arracher de là.
Tu te dis, c'est pas grave, il finira bien par revenir, faut lui laisser le temps.
Dans ses lettres, tu le sens prendre de la distance, devenir plus détaché, plus impersonnel. Tu sais pas si c'est un peu pour rire, si c'est toi qui te monte le bourrichon ou si effectivement il commence à t'échapper.

Tu sais, quand tu vas à la mer et que t'essayes de prendre la plus grosse poignée de sable possible dans ton poing ? Ben la t'es en train de serrer très très fort, mais ça suffit pas, y a toujours des grains qui arrivent à se frayer un chemin. Alors t'ouvres ta main, une dizaine de grains collés sur ta petite paume moite, c'est tout ce que tu as réussi à sauver. Et en plus t'es un peu enchylosé à avoir serré si fort. Comme un con. Comme un fou. Là, t'as fait pareil, tu l'as serré près de ton coeur aussi fort que t'as pu pour ne pas qu'il s'en aille mais ça n'a pas suffit, il rêvait d'ailleurs. Et tout ce qu'il te reste, c'est quelques souvenirs à embellir. Comme un con. Comme un fou.

Ca avait le goût désagréable des adieux. Trop salé.

Lundi 17 novembre 2008 à 19:43


Comme dans tous les couples ce sont tes bizarreries qui m’ont séduite. Tes mots décalés, tes expressions désuètes, ta façon de plonger tes yeux dans les miens pour capter mon attention, tes idées arrêtées, tes gouts musicaux et cinématographiques que je ne partage absolument pas . « Fuis moi, je te suis » et c’est-ce que j’ai fait, oh pire ! J’ai couru comme une souris qui renifle l’odeur du fromage.

 

J’ai juste peur que si un jour on se quitte on se hait tout entier.

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