amuse-girl

Mercredi 28 juillet 2010 à 17:20

 



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Je suis amoureuse de toi haut comme l'Everest.

Samedi 19 juin 2010 à 16:55

 

Tout ira bien.

Dimanche 2 mai 2010 à 10:18

 

La passion, le cul, l'amour, le « toujours », le mariage, les gosses. Pas nécessairement dans cet ordre là. Est ce qu'on est fait pour le schéma qu'on s'efforce à suivre ? Est ce que les gens sans attaches sont plus heureux que ceux qui s'efforcent à rester ensemble ? Comment on sait qu’on est heureux ? Déjà pour commencer, est ce qu’on peut être heureux ?
Le bonheur, ce mal du nouveau siècle.

C'est quoi la recette pour ne pas s'ennuyer, pour ne pas s'entretuer à deux, et surtout, comment on fait bordel pour être sur de garder quelqu'un ?
Pourquoi est ce qu'on est aussi ambivalent : qu'on soit seul ou en couple on rêve d'être sur le fil, alors qu'en même temps on aspire à la stabilité et être considéré/reconnu/aimé pour ce que nous sommes, c'est à dire pas quelqu'un d'exceptionnel.

La constance, le perpétuel, la régularité ne sont pas dans la nature humaine, c'est dans la nature tout court : les saisons, l’orbite des planètes, la circulation du sang, le cycle de l’eau, la quintessence des grecs, tout ça. Alors comment est ce qu'on fait hein ? Y a pas un Einstein des sentiments qui pourrait nous montrer la voie non ? Parce qu'on doit être environ 6 milliards à avoir les mêmes problèmes, donc ce serait pas mal qu'on trouve des réponses pour l'intérêt collectif.


Parce que tu vois, la genèse du problème , c’est pas la confiance. On commence toujours par avoir confiance en l’autre. Le vrai problème quand on est deux c’est de gérer  la déception sous jacente : la chute après le rebord que t’as pas vu venir. Et la déception elle est inévitable puisque systématiquement on idéalise l'Autre.

Les seuils de tolérance entre ce qui est acceptable et ce qui ni l’est pas venant de cet autre, sont individu-dépendants et donc très variables. Selon ton seuil (encore appelé ouverture d'esprit il parait) tu casqueras plus ou moins.

Et quand on est face à un conflit d'intérêt, on fait quoi ? Je me pli ou tu cèdes ? Comment on tranche si chacun reste camper sur ses positions ? Eh ben on se dit au revoir, on se souhaite bonne route et on ajoute une casserole de plus à toutes les autres déjà là, qu’on traine comme un fil à la patte et qu’on apporte au suivant.





Vendredi 19 mars 2010 à 22:31

 



Viens, qu'on arrête : La distance. Simuler l'indifférence.




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Il pleuvait à verse la dernière fois que je t'ai vu te retourner et t'en aller.



Tant mieux, parce que si la vie avait vraiment voulu être dégueulasse elle aurait pas laisser le ciel pleurer, non, elle aurait fait brillé le soleil aussi fort qu'il était possible. Mais je crois que ce jour là, la vie a franchement eu pitié de moi. Comme quoi.



Tu n'es plus là pour me serrer fort dans tes bras, me rassurer et me dire qu'un jour nous deux suffira même si au fond on savait bien qu'on se mentait.



J'ai voulu te retenir et je t'ai perdu. Et puis non, perdu, c'est pas le bon mot, puisque pour te perdre encore aurait il fallu t'avoir eu un jour.



Quelques morceaux volés en éclats ont glissé sous le meuble du salon, sans que personne ne les ai vu. C'en était fini.




Dimanche 7 mars 2010 à 19:45



"Il n'y a qu'une douleur qu'il soit facile de supporter, c'est celle des autres. "


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